Titre : |
Des chiens vivants : roman |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean ANGLADE (1915-....), Auteur |
Editeur : |
[Paris] : Presses de la Cité |
Année de publication : |
impr. 2010 |
Importance : |
1 vol. (443 p.) |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
23 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-258-08489-6 |
Prix : |
21 EUR |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
R |
Résumé : |
« Il vaut mieux être un chien vivant qu'un lion mort » L'Ecclésiaste
Voici une ?uvre singulière resurgit du passé, un roman époustouflant.
Dans la prison de Spandau, sept dignitaires nazis condamnés à l'incarcération par le Tribunal de Nuremberg purgent leur peine. Les quatre puissances d'occupation de l'Allemagne, américaine, britannique, française et soviétique, y ont dépêché deux cent quarante hommes pour les surveiller. Quand le livre commence, les détenus ne sont plus que quatre, et bientôt trois.
Ce roman est, tout à la fois, le journal de chacun d'eux, relatant son passé terrible, souvent abominable, mais aussi son présent muré, hallucinant, et leur dialogue, pitoyable et tragique. Ou plutôt la juxtaposition de trois soliloques car les mesures disciplinaires sont censées les empêcher de communiquer entre eux. Un huit clos bouleversant où des événements et des êtres qui ont pu paraître inexplicables se trouvent petit à petit révélés. |
Des chiens vivants : roman [texte imprimé] / Jean ANGLADE (1915-....), Auteur . - [Paris] ([Paris]) : Presses de la Cité, impr. 2010 . - 1 vol. (443 p.) : couv. ill. ; 23 cm. ISBN : 978-2-258-08489-6 : 21 EUR Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
R |
Résumé : |
« Il vaut mieux être un chien vivant qu'un lion mort » L'Ecclésiaste
Voici une ?uvre singulière resurgit du passé, un roman époustouflant.
Dans la prison de Spandau, sept dignitaires nazis condamnés à l'incarcération par le Tribunal de Nuremberg purgent leur peine. Les quatre puissances d'occupation de l'Allemagne, américaine, britannique, française et soviétique, y ont dépêché deux cent quarante hommes pour les surveiller. Quand le livre commence, les détenus ne sont plus que quatre, et bientôt trois.
Ce roman est, tout à la fois, le journal de chacun d'eux, relatant son passé terrible, souvent abominable, mais aussi son présent muré, hallucinant, et leur dialogue, pitoyable et tragique. Ou plutôt la juxtaposition de trois soliloques car les mesures disciplinaires sont censées les empêcher de communiquer entre eux. Un huit clos bouleversant où des événements et des êtres qui ont pu paraître inexplicables se trouvent petit à petit révélés. |
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